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LE DÉVELOPPEMENT TOURISTIQUE AU CENTRE DES JOURNÉES ECONOMIQUES DE TÉTOUAN

17 décembre 2014, by fmdt.ma No comments yet

Le Ministre du Tourisme,17, a participé le vendredi 12 décembre aux travaux de la 3ème édition des journées économiques de Tétouan, organisées par la Chambre du Commerce, de l’Industrie et de Services de Tétouan sous le thème «La Vision touristique 2020 et son rôle dans le développement».

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LE MINISTRE DU TOURISME SE MOBILISE POUR OUARZAZAT

17 décembre 2014, by fmdt.ma No comments yet

Le ministre du Tourisme, Lahcen Haddad a remit le samedi 13 décembre à Ouarzazate, le Prix de  » Région Préférée des Internautes 2014″, au cours d’une cérémonie qui a connu la participation des autorités, des élus, professionnels du Tourisme et opérateurs du cinéma de la Région.

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Ouverture d’une nouvelle ligne aérienne directe entre Madrid et Ouarzazate

17 décembre 2014, by fmdt.ma No comments yet

En partenariat avec l’Office National Marocain du Tourisme, Air Europa, compagnie aérienne du groupe espagnol Globalia, lance aujourd’hui une nouvelle ligne directe reliant Madrid à Ouarzazate à raison de deux fréquences hebdomadaires jeudi et dimanche.

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Maroc / Espagne : Des relations stratégiques en développement permanent

17 décembre 2014, by fmdt.ma No comments yet

Les relations de coopération entre les Royaumes du Maroc et d’Espagne, marquées par la confiance et la coopération, ne cessent de se développer et de se consolider jour après jour et l’année 2014 n’a pas été une exception.

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Le Parc national d’Ifrane célèbre la Journée internationale de la montagne

17 décembre 2014, by fmdt.ma No comments yet

En célébration de la journée internationale de la montagne, le Haut commissariat des eaux et forêts et de la lutte contre la désertification a organisé le vendredi 12 décembre une journée de refléxion sur la montagne marocaine en général et celle du Moyen Atlas en particulier et ce, au siège de la maison du Parc National d’Ifrane, avec la participation des présidents d’une quinzaine d’associations locales et nationales dont notament et entres autres, des associations de gestion sylvopastorale (AGS), l’AMEPN, l’AFMI, le réseau des ambassadeurs touristiques d’Ifrane, l’Association des Amis du Val d’Ifrane et l’association des populations des montagne du Monde.

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Le Plan Azur en question : Fadesa, le gros lot

11 octobre 2007, by fmdt.ma No comments yet

Le projet Mediterrania-Saïdia que réalise le groupe Fadesa qui vient d’être cédé par son président Manuel Jove Capellan à la Société Martin S.A. dirigée par l’ex-Président du Club Real Madrid, Fernando Martin pour plus de 4 milliards d’Euros est bien avancé sur le plan immobilier tant au niveau de la construction qu’à celui des ventes effectives. IL fallait bien s’y attendre, le groupe Fadesa est considéré comme l’un des principaux promoteurs immobiliers d’Espagne.

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Plan Azur

8 février 2007, by fmdt.ma No comments yet

Le lecteur peut constater de lui-même que depuis quelques semaines nous avons entamé l’analyse du produit touristique marocain en ouvrant d’abord le dossier hôtelier qu’il faudrait compléter, dans un deuxième stade par l’étude de ceux relatifs aux intermédiaires, agents de voyage et autres, au transport surtout aérien, à la restauration et aussi à l’encadrement humain par tout ceux auxquels s’adressent les programmes de formation professionnelle et technique.

Le survol des capacités hôtelières du Royaume tel qu’il a été effectué a montré qu’il y a une prédominance manifeste de deux villes leaders : Marrakech et Agadir qui représentaient en 2006 près de 50% de nos moyens d’hébergement.

Ce survol nous a permis de dégager un premier bilan qui sera tout à fait incomplet si on n’y inclut pas les stations balnéaires de nouvelle génération, prévues par le plan Azur.

Il est tout à fait certain que le Royaume n’a jamais poussé aussi loin sa vision du Maroc de demain en matière de produit balnéaire : concepts grandioses, investissements colossaux, une certaine volonté de créer de véritables ruptures avec le tourisme de forme artisanale auquel nous avons été habitué depuis l’indépendance.

Six zones ont été choisies parmi lesquelles celle de Larache, d’Essaouira et d’El Jadida développeront un tourisme mixte, culturel et balnéaire. Par contre les sites de Saidia, Taghazout et la plage blanche à Guelmim seront dédiés exclusivement au tourisme balnéaire.
Les promoteurs de ces concepts et de cette vision évoquent la création de 120 mille lits dont 70% en hôtellerie et 30% en résidentiel.

Il est intéressant dans un premier stade d’exposer aux lecteurs de façon simple et directe la photographie de ces futures stations balnéaires qui sont de nature, si elles viennent à se réaliser, de changer considérablement les structures du tourisme marocain. Les textes seront empruntés à l’Observatoire du Tourisme du Maroc qui est un outil créé par les Pouvoirs Publics car il est plus crédible de faire l’analyse critique d’un concept à partir de l’exposé de ceux qui l’on conçu.

« La station Méditerranéenne de Saidia a été attribuée au groupe espagnol FADESSA, en 2003. Ce projet qui constitue la locomotive du Plan Azur, est sans conteste le plus avancé avec un taux de réalisation pour la première tranche avoisinant les 70%. Cette station est entrée en phase de réalisation de la première unité hôtelière d’une capacité de 1.200 lits en 2005, après avoir procédé à la commercialisation du foncier résidentiel. Elle comprendra, à terme, plusieurs unités d’hébergement hôtelier et résidentiel pour une capacité d’environ 30 000 lits, dont 17 000 en hôtellerie. Elle sera également dotée de nombreuses infrastructures d’animation (golfs, marina, etc ) »

Aux dernières informations il est prévu d’ouvrir en septembre prochain trois unités hôtelières sous des enseignes révélatrice de « l’engouement  » des promoteurs : Barcelo-Fadessa, Globalia-Fadessa, Iberostar-Fadessa. Trois autres hôtels sont envisagés par le développeur mais il est évident que seul l’immobilier attire aujourd’hui les investisseurs et qu’il n’y a pas de file d’attente devant les guichets pour la création d’unités hôtelières nouvelles.

Une première réflexion s’impose immédiatement à ce propos. Avons-nous les moyens de résister aux multiples tentations d’inverser les choses et de faire plus de busines foncier et immobilier que de capacités hôtelières classiques ?

Il ne faut d’aucune façon accepter que le cas de Saidia puisse, de près ou de loin, rappeler celui du dossier de Restinga smir où le groupe Morocco-Saoudien « Pharoun » a réussi à ne promouvoir pratiquement que de l’immobilier et même du foncier pur en cédant au prix fort une partie des terrains acquis à un prix symbolique car destinés à un large projet touristique qui bien entendu n’a jamais vu le jour tel que prévu.

Hélas, quand le génie humain réussit à initier de grands chantiers on constate souvent que plus les portes s’ouvrent, plus elles laissent s’infiltrer des catégories d’investisseurs spécifiques, composés d’opportunistes et d’initiés de tous crins pour n’évoquer que ceux-là.

Après Marrakech et Agadir : Le tiers restant

17 janvier 2007, by fmdt.ma No comments yet

Selon les saisons, les années, les activités touristiques de l’ensemble des villes touristiques du Royaume hormis Marrakech et Agadir, ne réalisent que 25 à 35% du total des nuitées globales enregistrées au titre du tourisme étranger.

Pour l’année 2005, les scores se présentent ainsi : 7% pour Casablanca qui perd un point par rapport à l’année de référence 2000 de la vision 2010, soit plus de 75.000 nuitées de moins 4% pour Fès et Ouarzazate qui perdent également un point par rapport à l’année 2000 : Pertes sévères de plus de 140.000 nuitées pour des destinations de petites capacités de l’ordre de six mille lits chacune, alors que Casablanca affiche une capacité qui s’oriente vers les 10.000 lits hôteliers. Rabat et Tanger clôturent le tableau des villes de renom avec 3% de nuitées chacune, sauf que Rabat progresse et Tanger réalise 16.000 nuitées de moins en 2005 par rapport à l’année 2000.

Citons pour la forme Meknès et Essaouira (1%) chacune, sachant que la capacité de la Capitale de Moulay Ismail a perdu près de 32.000 nuitées et que la petite cité d’Essaouira en a gagné près de 45.000.

Il est évident que les villes les moins actives sont celles qui ont des capacités insuffisantes. Marrakech et Agadir trônent avec plus de 45% du total en 2005 soit près de 55.000 lits. Casablanca (9.334 lits), Fès (6.169 lits), Ouarzazate (5.884 lits), Tanger (6.936 lits), Rabat (4.592 lits), Meknès (273 lits) Essaouira (2.324 lits)… En fait rien de quoi exciter les tours-opérateurs modernes car en l’absence de grosses capacités, il est difficile de mobiliser le transport low-cost avec des avions gros porteurs. Et sans ces derniers il n’ y a pas de tourisme de masse répétitif. On est en plein dans le domaine de la bricole. Que faire? Tout simplement mettre en marche sérieusement les fameux PDR, programmes de développement régionaux, en laissant travailler les structures communales et régionales concernées et en les aidant à trouver localement et à l’étranger les crédits nécessaires à leur développement. Bien entendu le tourisme est une véritable locomotive, capable de servir de levier à toutes les activités économiques du pays. Il y a peu de risque que les municipalités et les régions soient un jour dans ce domaine, en difficultés de remboursement. L’essentiel est de trouver les encadrements humains et les garde-fous nécessaires.

Il est par ailleurs affligeant de constater que des villes telles que Casablanca, Tanger et Fès qui sont des produits de qualité continuent, plus de cinquante ans après l’indépendance, à afficher autant d’indigence en capacités hôtelières et que le taux d’occupation de nos hôtels en 2005 n’a pas dépassé les 47%, en régression de 5% par rapport à l’année 2000 et que par ailleurs nous n’avons pas réussi à maintenir les touristes étrangers chez nous plus de trois jours en moyenne !

Cette offre touristique marocaine, dominée par Marrakech et Agadir, a fait pourtant l’objet d’études coûteuses et dont certaines sont récentes et confidentielles (pourquoi?), devrait faire l’objet de débats plus nombreux et plus profonds faisant appel non seulement à toutes les bonnes volontés mais aussi et surtout aux autorités locales administratives et élues concernées.

Au rythme où va le savoir et alors qu’une génération ne dure même pas aujourd’hui une décennie, personne ne peut prétendre savoir seul quelque chose. Dire et penser le contraire est dangereux à plus d’un titre, surtout quand on agit par mandat, au nom de tiers.

Les attraits des villes touristiques du Royaume sont pourtant évidents : Deux Océans, des côtes magnifiques, les quatre saisons, une population calme, disponible et intéressée, une sécurité exemplaire dans un monde de violence quotidienne. Oui, il fait bon vivre au Maroc. Il suffit d’aller n’importe où ailleurs pendant plus de dix jours pour s’en persuader. Et pourtant… non à dire vrai nos retards en matière d’offre hôtelière et touristique ne sont ni des maladies génétiques ni des fatalités obscures. Les grands chantiers engagés, tant au niveau des infrastructures qu’à celui des capacités, ne manqueront pas de nous redonner espoir, surtout à ceux qui rêvent d’un Royaume capable d’être non seulement une forteresse du savoir, de la tolérance et de l’équité sociale, mais aussi le leader Maghrébin incontesté du tourisme haut et moyenne gamme dans les deux domaines du tour operating et du tourisme d’affaires.

Marrakech, une histoire fascinante (suite et fin)

12 janvier 2007, by fmdt.ma No comments yet

La capitale des Almoravides est de loin la destination touristique qui connaît la croissance la plus forte. Mais qu’en sera-t-il demain avec l’Open Sky et la clientèle low-cost ?

Depuis l’année 2000, les arrivées de touristes à l’aéroport international de Marrakech ont presque doublé. En 2005, elles voisinent le million de passagers, ce qui représente près de 40% de l’ensemble des arrivées nationales par voie aérienne.

Ces touristes étrangers ont développé 4,7 millions de nuitées hôtelières, c’est-à-dire 88,4% de la part totale des nuitées réalisées dans les hôtels classés de la ville. On constate dès lors que le tourisme interne a représenté en 2005 quelque chose comme 12% du total des nuitées.

Quant à la capacité dont dispose la capitale du sud, elle est de l’ordre de 30 000 lits, représentant le quart de la capacité hôtelière de tout le Royaume. L’occupation de cette capacité hôtelière a évolué de façon satisfaisante depuis le début du quinquennat. En 2005, elle a été de l’ordre de 70%.

Ces paramètres attestent les données mentionnées précédemment et confirment trois choses :

1- Le leadership de la ville ocre dans les activités touristiques du Royaume est incontestable.

2- Le rythme de croissance annuel moyen des arrivées et des nuitées réalisées à Marrakech, soit 10,2% pour les arrivées et 6,7% pour les nuitées, est celui qui est le plus proche des ambitions de la vision 2010 (15%). Nulle part au Maroc ces performances n’ont été atteintes.

3- Les investissements colossaux prévus pour le développement des infrastructures, de la capacité hôtelière et para-hôtellerie et du secteur d’animation et des loisirs exigeront plus de vigilance qu’ailleurs. En effet, il est souvent plus difficile de gérer l’essor économique que les crises passagères.

Marrakech va bénéficier encore d’apport de clientèle supplémentaire mais attention à la saturation. L’occupation à 70-80% est un maximum. D’où la nécessité de booster le régime de construction de nouveaux hôtels et de former sans tarder, et de préférence sur place, les staffs et personnels nécessaires à la gestion des futures unités.

Il est évident que la main-d’œuvre qualifiée et le personnel d’encadrement font aujourd’hui cruellement défaut. Il suffit pour s’en rendre compte de provoquer des demandes d’emplois pour des postes tels que directeurs généraux d’hôtels, gouvernantes générales, chefs de réception, maîtres d’hôtel, cuisiniers, chefs d’entretien qualifiés…

La signature prochaine de l’Open Sky avec l’Europe des 25 va pouvoir satisfaire enfin un vœu ancien et une nécessité absolue qui s’inscrit dans le cadre des conditions essentielles du véritable décollage du tourisme marocain.

Nous avons été quelques-uns à monter souvent au créneau pour sensibiliser les décideurs sur ce dossier crucial. Bien sûr, tout ne sera pas résolu d’un coup de plume, il faudrait aussi que la loi puisse réglementer les « low-cost » et qu’on tienne par ailleurs compte du fait qu’à force d’écrémer large à travers la clientèle européenne, on provoquera deux risques sérieux:
1- Celui de faire venir au Maroc des clients ayant peu de moyens pour animer le secteur tertiaire
2- Celui de réduire le taux d’occupation des hôtels 4 et 5 étoiles

En fait, il faudrait pouvoir dire oui au « low- cost » mais non à la subvention d’une clientèle de campings et d’hôtels de bas de gamme. Contrairement à la Tunisie par exemple, le Maroc a beaucoup investi dans l’hôtellerie de qualité, et l’idéal serait que la clientèle européenne riche puisse utiliser à son profit le transport « low-cost » dans une proportion satisfaisante à nos stratégies commerciales et financières globales.

Il est par ailleurs toujours d’actualité de garder l’œil sur la domination du marché français qui représente, à lui seul, 62% de la part des nuitées totales car il n’est pas prudent de mettre « tous les œufs dans le même panier » ou alors il faudrait se préparer à courtiser en permanence une clientèle qui se sentira de plus en plus indispensable et qui sera de plus en plus exigeante. Certes chaque politique a un prix et il est judicieux de commencer d’ors et déjà à envisager les mesures d’accompagnement à introduire dans notre philosophie d’action vis-à-vis des opérateurs économiques français présents à Marrakech et de la clientèle française en particulier de façon à leur donner un sentiment de sécurité et de bien-être. Les Français investissent à Marrakech et ils y viennent nombreux en vacances. N’est-il pas légitime qu’ils devraient s’y sentir un peu comme chez eux? Le dossier de l’open sky a été longtemps bloqué à cause d’une exigence de réciprocité mais qu’on ne vienne pas nous parler à nouveau de réciprocité. Celle-ci ne peut pas être satisfaite rapidement à ce propos non plus et n’a même pas à être envisagée tant que nos concitoyens en France n’auront pas acquis un degré d’adaptation et une forte représentativité, capables de leur permettre de formuler des exigences et tant que les nationaux visitant la France ne se comptent pas en millions.

Agadir, la perle de l’Atlantique (suite et fin)

12 janvier 2007, by fmdt.ma No comments yet

En tant que produit balnéaire, Agadir se prépare à devenir une destination incontournable, même si demain, les plages du Nord, sur la Méditerranée, arrivent à s’organiser dans le cadre d’un programme de développement intégré.

Certes, Agadir ne bénéficie pas d’un arrière pays attractif et varié, s’il l’on excepte Taroudant; mais des sites remarquables existent et il est évident que l’offre pourra s’élargir et s’améliorer au fur et à mesure de la manifestation de la demande, surtout s’il l’on considère que le tourisme balnéaire est relativement sédentaire. La saturation des Iles Canaries et la proximité de l’Europe renforcent l’attrait d’Agadir. Par ailleurs l’autoroute qui reliera bientôt « La capitale de la mer » à Marrakech, la ville impériale, les rendra forcement complémentaires et renforcera leurs arrière-pays.

En attendant, la ville s’offre une corniche qui faisait cruellement défaut et qui ne manquera pas d’organiser le profil de la plage et structurer son animation générale. L’aménagement de la corniche d’Agadir sur près de dix kilomètres fait partie d’un plan plus large de mise à niveau urbain qui sera étalé sur trois ans et qui permettra de doter la ville d’une identité urbanistique cohérente. Il est fort à parier que cette fois-ci la signalisation sera revue et corrigée et que l’on pourra enfin pouvoir rejoindre son hôtel ou l’aéroport sans tourner longtemps en rond avant d’y arriver.

Les choses étant ce qu’elles sont Agadir a aujourd’hui toutes les chances du monde de rattraper ses retards du 1er quinquennat de la vision 2010. En 2006 (à fin novembre) par rapport à 2005 elle annonce une progression à deux chiffres, notamment pour les nuitées hôtelières et fait deux fois mieux que Marrakech : 11% contre 6%. Résultat, les deux capitales du tourisme balnéaire et culturel ne totalisent que 65% des nuitées totales enregistrées par le Royaume au lieu de 75% l’an passé.

La France trône avec 40% de part de marché devant une myriade de nationalités dont aucune n’est à deux chiffres et où la petite Belgique fait autant que l’Italie (4%). Le Marché espagnol explose pratiquement en marquant plus que le double de ses performances de l’année 2000, au démarrage de la vision 2010. Manquent à l’appel, deux clientèles historiques prestigieuses : l’Allemagne et la Scandinavie.
Pour le marché germanique, la descente aux enfers continue et se distingue par une décroissance annuelle moyenne de plus de 10% depuis six ans.

La reprise constatée en 2006 peut-elle être annonciatrice d’un réel changement de tendance ? Il faut l’espérer, surtout que des sommes considérables ont été investies dans ce marché. La Scandinavie, leader incontournable des années 80/90 quand elle affichait à elle seule un demi million de nuitées hôtelières, ne fait pas mieux. Bien au contraire elle arrive à peine à dépasser les 187 mille nuitées, avec une évolution négative annuelle moyenne de plus de 11% depuis 6 ans.

La désaffection de ces deux marchés n’est pas irréversible bien entendu. Une aide massive devrait être accordée au CRT et une plus grande liberté d’action laissée aux opérateurs publics et privés de la destination. A ce prix, rien ne pourra exclure, non seulement le retour à leurs scores d’antan des marchés germanique et scandinave, mais aussi la relance de l’ensemble des marchés, surtout si l’open sky qui n’est plus un mythe mais une réalité de tous les jours, s’adapte plus à la nature du produit. La mise en place, à ce titre, d’avions utiles, adaptés aux marchés émetteurs est à l’ordre du jour, tant au niveau du nombre de sièges qu’à celui de l’autonomie de vol.

Certes tous les efforts entrepris ou en cours dans les domaines du développement de la croissance des capacités, de la promotion et de l’encadrement intelligent des activités touristiques, ne suffiront pas à pérenniser les succès obtenus, si la formation technique des cadres dirigeants et du personnel de services immédiats n’est pas prise au sérieux et pourquoi pas traitée localement. Les succès les plus durables passent obligatoirement par le développement humain.

L’expérience vient d’ailleurs de montrer tant à Marrakech, Agadir, Tanger et depuis deux ans à Fès que lorsque les Pouvoirs Publics placent là où il faut les hommes qu’il faut, il n’y a pas de dossiers hermétiques ou de difficultés insurmontables.

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L’Office National Marocain du Tourisme

Le rôle de l’Office National Marocain du Tourisme est de promouvoir les richesses culturelles et balnéaires, ainsi que développer des thématiques de niche de choix qui placent le Maroc parmi les destinations touristiques prisées. Notre objectif est de stimuler le tourisme interne et d’attirer les arrivées de touristes internationaux au Maroc à travers une nouvelle politique de gestion durable du portefeuille de destinations, axée sur l’anticipation et le suivi de la demande.

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